Dès que l’on évoque la musique en ligne, on pense aussitôt piratage, Napster et compagnie. Pourtant les enjeux de la musique en ligne ne se limitent pas au piratage et leurs modèles économiques sont loin de se limiter au web…bien au contraire. Si le modèle économique de tous les acteurs du secteur était, au départ, de vendre en ligne de la musique, ce modèle est rangé au placard, comme nous l’explique Rémi Carlioz, directeur général de Vitaminic France (http://www.vitaminic.fr/main), filiale du groupe italien du même nom, et dernière plate-forme de musique en ligne qui ne dépend pas d’une major.
Quant à ceux qui seraient tenter de rétorquer que ce type de plate-forme est un pis aller pour artistes en mal de talent et ne trouvent donc pas leur place dans les majors, qu’ils jettent une oreille sur peoplesound.fr (un des sites Vitaminic – http://fr.peoplesound.com/index.htm) et un oeil sur cette interview…