Jusqu’où un musée peut-il être « intelligent » ?
L’intelligence ambiante est-elle soluble dans la culture ? Un musée peut-il équiper ses visiteurs de puces RFiD sans être accusé de flicage ? Et comment faire de sorte que les nouvelles technologies ne soient plus perçues comme d’abord et avant tout sécuritaires ? Faut-il cacher les technologies pour mieux en faciliter la compréhension ? (…)